Nous sommes tous d'accord, l'impact écologique du numérique est non négligeable, même si la fabrication des différents terminaux en est responsable à environ 75 %.
Nous avons le sentiment d'un accès illimité au numérique. Il faut donc collectivement réfléchir aux usages et à leurs conséquences sur l'environnement, sur le modèle de ce que l'on a fait pour l'eau. Cela ne viendrait plus à l'idée de personne – enfin, je l'espère – de gaspiller de l'eau et nous savons tous qu'il faut fermer le robinet quand on se lave les dents.
Nous n'avons pas encore, ou pas assez, ces réflexes basiques en matière de numérique. Il faut donc mieux sensibiliser, je suis d'accord sur le fond. Sur la méthode, il faudra voir d'ici la séance si nous nous raccrochons à la proposition de loi Chaize ou au présent projet de loi.