Il s'agit d'instaurer un comité scientifique chargé d'évaluer l'impact énergétique et climatique du numérique, et notamment des infrastructures de réseau qui s'appuient essentiellement sur des solutions numériques – infrastructures énergétiques de mobilité, de télécoms, etc.
Bien entendu, nous avons tous pris conscience des usages positifs du numérique pendant la crise sanitaire. Mais, du fait de l'amplification de ces pratiques, c'est aussi le bon moment pour informer les consommateurs de l'impact de ces usages et leur permettre de devenir « consomacteurs ».