Cet amendement vise à la reconnaissance des enseignements en plein air et sous forme de classe dehors comme partie intégrante de l'éducation à l'environnement et au développement durable. Il s'inspire d'un travail pédagogique mené notamment par Crystèle Ferjou, dans le département des Deux-Sèvres. Le contexte sanitaire provoqué par la pandémie lui a donné un écho accru. L'engouement qui en est résulté dans l'éducation nationale justifie la reconnaissance officielle de l'apport que constitue la possibilité de faire classe à l'extérieur, par exemple une fois par semaine. Bien entendu, des questions pratiques se posent, car il faut identifier les endroits propices, et des adaptations s'imposent.