Les auteurs des amendements ont été très bien inspirés.
Ce qui gêne, semble-t-il, le Gouvernement n'est pas l'interdiction de la publicité en faveur de produits néfastes pour l'environnement, mais la manne financière qu'elle peut représenter pour celles et ceux qui sont susceptibles d'en bénéficier : médias télévisuels, radios, presse écrite, monde associatif professionnel ou amateur.
Nous devrions, si l'on veut collectivement emprunter une telle trajectoire, en débattre : comment substituer des recettes équivalentes à ce que représentent ces publicités que nous voudrions voir disparaître ?