Je suis partagé. Si je trouve objectivement les amendements très intéressants, la jauge pose problème – la définition que donne l'amendement de M. Orphelin d'un impact négatif sur l'environnement est relativement large.
La publicité influence certes nos comportements, mais moins que l'interdiction. Prétendre que cette dernière permet mieux l'expression du libre arbitre est difficile à suivre intellectuellement.
M. Benoit a raison, la publicité représente une manne financière et en emplois, qu'il faut quantifier s'agissant des produits qui ont vocation à être interdits. Pour ce faire, il faut qualifier ceux-ci. Or on ne peut pas le faire, donc on ne peut pas débattre d'une solution pérenne.