Je trouve que ces amendements, de précaution, sont excellents. L'agence régionale de la biodiversité (ARB) d'Île-de-France a commencé une étude sur les toits végétalisés, et ce qu'on observe n'est pas aussi extraordinaire que ce à quoi on pourrait s'attendre…
Ces amendements visent à éviter qu'on fasse n'importe quoi : certains toits végétalisés se traduisent par des charges de copropriété énormes parce qu'ils sont mal conçus. Il faut faire très attention. L'interdiction d'utiliser de l'eau potable limitera déjà les problèmes en obligeant à réaliser une vraie maîtrise d'œuvre. D'une manière plus générale, il y a un besoin de nature en ville, et pas seulement de toitures végétalisées.