Le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les conséquences pour l'ensemble de la filière automobile de l'électrification des flottes publiques et privées.
Je profite de cette prise de parole pour reposer ma question, à laquelle il n'a pas été répondu : quid de l'étude d'impact sur cette trajectoire en amont – le rapporteur général a rappelé la situation à Rodez – mais également en aval de la filière, en particulier pour les nombreux professionnels de l'entretien, de la réparation, de la distribution de carburant ? Je rappelle que 150 000 entreprises et 500 000 emplois sont concernés et que des jeunes viennent de choisir ou choisiront bientôt ce type de formations.
Je le répète : une telle évolution doit être anticipée et ne se limite pas à la seule question du changement de motorisation. L'enjeu économique et social mérite que nous nous appesantissions un peu plus sur ces questions.