Je crois que l'on touche du doigt la raison pour laquelle notre collègue Jean-Luc Fugit a voulu appeler ces zones « à faibles émissions mobilité ». L'objectif est de travailler sur la mobilité, en particulier celle des véhicules. C'est pourquoi ces zones ne sont pas des outils adaptés aux voies fluviales et ferroviaires. En effet, l'autorité de police compétente en matière de circulation et de stationnement n'est généralement pas compétente en matière ferroviaire et fluviale ; en conséquence, il ne lui sera pas possible d'appliquer des restrictions sur ces voies. Avis défavorable.