L'article 35 vise une nouvelle fois à travailler pour élaborer des dispositifs européens. Vous le savez, le secteur aérien dépend énormément du territoire européen. Une forte concurrence est à l'œuvre. À ce stade, il ne paraît pas pertinent de fixer un prix du carbone suffisant à partir de 2022, car le secteur ne connaîtra pas un niveau d'activité assez élevé à cette date. En revanche, l'échéance de 2025 permettra de disposer d'une trajectoire claire, avec un niveau d'activité proche de celui que nous avons connu, notamment en 2019, comme le mentionnait l'amendement CS3858.
Pour ces deux raisons, j'émettrai un avis défavorable.