L'objectif est de faire en sorte que les bénéficiaires du chèque énergie, qui sont donc en situation de précarité énergétique, soient les premiers bénéficiaires des aides à la rénovation énergétique existantes. C'est du bon sens social, car il vaut mieux aller vers ces personnes plutôt qu'attendre qu'elles viennent vers nous. C'est également du bon sens économique car 840 millions d'euros sont consacrés chaque année au chèque énergie, alors que des travaux permettraient d'aider les gens à sortir durablement de la précarité. Les chèques énergie sont mal utilisés car ils ne permettent pas de repérer ces ménages et de leur apporter les bonnes réponses.