Ma lecture de l'amendement est inverse de celle de Mme Batho, comme cela arrive souvent. Le bois de Boulogne, par exemple, comporte des constructions. Si nous adoptions l'amendement, les surfaces qui n'en comportent pas pourraient être artificialisées. S'il s'agit de préserver la possibilité de bâtir dans les « dents creuses », une formulation plus précise s'impose. Il ne faudrait pas ouvrir à l'artificialisation les espaces verts des villes.