On ressent tout de même une certaine frustration. Peut-être nos amendements peuvent-ils faire l'objet de critiques mais ce projet de loi est probablement le dernier grand texte consacré au climat que nous examinons avant 2023 ou 2024, et ce, quel que soit le résultat des élections de l'an prochain. Aussi les amendements que nous déposerons en séance pourraient-ils faire l'objet d'une interprétation moins restrictive, moyennant quoi nous en déposerions moins – je m'y engage, en tout cas, au nom du groupe Libertés et Territoires. Il serait dommage que, faute de pouvoir défendre des amendements constructifs, nous soyons contraints, pour nous exprimer sur certaines questions, de demander des rapports au Gouvernement.