Le décret doit, en effet, préciser le contenu du rapport. Cela étant, le débat est légitime. Quand on imperméabilise, il est certain qu'on artificialise ; lorsqu'on artificialise, on peut éventuellement utiliser des matériaux poreux. Peut-être serait-il intéressant de faire la différence. Il peut être utile de savoir, par exemple, qu'une cour d'école a fait l'objet de travaux pour être rendue poreuse. Je vous propose qu'on y réfléchisse, et je m'engage à ce que le décret respecte l'esprit de notre discussion en définissant les types d'artificialisation et en prévoyant un sous-ensemble pour suivre l'imperméabilisation.