Nous devons refuser la malbouffe, quels qu'en soient les atours. L'Organisation mondiale de la santé estime qu'un Français mange en moyenne 45 % de protéines en trop. La réponse n'est pas dans l'artificialisation.
Cet amendement interroge notre rapport au vivant, et j'invite ses auteurs à étendre leur raisonnement aux additifs de synthèse, aux organismes génétiquement modifiés (OGM) et aux pesticides de synthèse. Là aussi, on trouve derrière de puissants intérêts financiers – comme le soulignait, à juste titre, M. Chassaigne.