Je partage les interrogations de Mme De Temmerman. J'ai exercé des responsabilités dans une commune rurale, et essayé d'atteindre l'objectif de « faim zéro ». Mais on nous demande en parallèle d'améliorer la qualité des repas, ce qui signifie qu'il faut acheter des produits locaux, plus chers. Si l'on veut tout faire – ce qui est louable –, in fine, ce sont des difficultés financières supplémentaires pour la commune. C'est une équation difficile à résoudre.