Ce chiffre, similaire à celui de l'an dernier à la même époque, masque des réalités très différentes : une majorité d'étudiants en réorientation, qui ont néanmoins leur place à l'université s'ils choisissent de poursuivre dans la même filière ; des étudiants ayant reçu une réponse positive sur l'un de leurs choix mais qui, pour le moment, n'ont pas accepté cette proposition de façon définitive et attendent de voir si un meilleur choix leur sera proposé ; et, enfin, un peu plus de 10 000 étudiants ayant un réel problème d'affectation : ils étaient 17 000 il y a quinze jours, 36 000 il y a un mois.