Nous nous étions déjà demandé, lors de l'examen d'un précédent projet de loi, comment empêcher que des individus inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) ou au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS) soient autorisés à devenir enseignants, dans le public comme dans le privé.
Par ailleurs, ne pensez-vous pas qu'il faudrait faire en sorte que l'État finance un poste, dans les écoles privées hors contrat, pour que des cours sur la laïcité et la République y soient dispensés ? Ces établissements n'en ont pas l'obligation.