À l'article 6, le contrat d'engagement républicain énumère les principes formant un cadre dans lequel les associations doivent s'inscrire, parmi lesquels figure le principe d'égalité « notamment entre les femmes et les hommes ». Doit-on se réjouir de cette précision ou regretter de devoir encore l'apporter ?
En vertu d'une logique coercitive, le non-respect de ce principe entraînerait la restitution des subventions. Concrètement, comment contrôler l'effectivité de l'égalité femmes‑hommes, qui nous est si chère, sachant que la confusion est souvent faite entre égalité et parité ?