Vos arguments m'étonnent, Monsieur Corbière, car vous savez fort bien qu'il existe des problèmes de ce genre dans le sport, et plus particulièrement dans les clubs.
Il ne s'agit pas d'avoir vis-à-vis des fédérations une démarche de suspicion mais bien de partenariat – qui prolonge celle poursuivie depuis le début du quinquennat – qui traduise les valeurs de la République – qui convergent avec celles du sport, et notamment la neutralité politique et religieuse – à travers les contrats d'engagement, véritables contrats de confiance.
En outre, des décrets et règlements complètent presque toujours la loi : cet argument ne trahirait-il pas votre aveuglement ? Voudriez-vous jeter le voile sur ces enjeux, qui font pourtant consensus dans le milieu du sport, les fédérations se réjouissant de disposer de ce type de contrat ?
Par ailleurs, l'ensemble de l'action sportive représente une alternative aux mauvaises tentations de la jeunesse.