Très bon slogan, monsieur le ministre. Nous modifierons l'amendement en conséquence. Aujourd'hui, le monde associatif sportif a le sentiment de ne pas être totalement protégé contre les agissements de ces personnes et de servir de lieu de surveillance, ce qui leur est fort désagréable. Ils ont l'impression qu'au motif de renseignement, on peut mettre les mineurs en danger. Le débat est sensible.