Les 60 millions d'euros proposés par Google en 2013 ont été une source de problème en rendant les éditeurs dépendants. Avec ce fonds, Google a vendu ses outils aux éditeurs, outils dont ils ne peuvent aujourd'hui plus se passer. De son côté, le SAPHIR a lancé en 2013 un recours devant la Commission européenne et la FFAP s'est engagée à ce qu'aucune agence adhérente ne demande de subsides à Google. La France a mis en place un fonds stratégique pour nous aider à nous moderniser. Nous ne pouvons faire un recours contre Google et en même temps utiliser leurs outils. Nous sommes très indépendants, c'est dans notre ADN d'agences de presse. De leur côté, les éditeurs sont tiraillés. Nous ne voulons discuter que sur le droit voisin