Nous n'allons pas utiliser 600 personnes pour négocier avec une centaine de plateformes. Ces personnes vont chercher les droits dans les lieux publics comme les bars ou les discothèques, où il est indispensable de se déplacer pour contractualiser la relation. Pour les services en ligne, nous employons beaucoup moins de personnes, car elles disposent d'outils pouvant être mis à la disposition de l'OGC. Le principal enjeu est celui de la négociation, pour lequel nous disposons d'équipes et un enjeu technologique pour répartir les droits collectés. Nous sommes prêts à développer les outils technologiques pour appréhender ces nouvelles formes d'exploitation et nous allons prochainement lancer une filiale chargée de développer ces outils technologiques.