L'OGC présidé par Jean-Marie Cavada comprend une grande partie des éditeurs de presse, mais pas tous. Cela facilite les choses, même si tout n'est pas réglé. D'autant que nous avons cru comprendre que si un accord avait pu être conclu entre un acteur dominant et l'Alliance de la presse d'information générale (APIG), il a cependant ensuite volé en éclat car des éditeurs ont voulu gérer directement la collecte de droits voisins.
Au-delà de la question des seuils financiers, traiter avec une multitude d'acteurs constituerait une difficulté supplémentaire pour une entreprise comme la nôtre qui, à la différence des acteurs dominants, ne dispose pas d'une armée de collaborateurs chargés des affaires publiques.
Nous souhaiterions donc que les acteurs qui ne sont pas encore rattachés à l'OGC puissent l'être. Cela égaliserait les choses et faciliterait le travail des petits acteurs.