L'amendement de notre collègue M. Lionel Causse s'inscrit dans la même dynamique que celui que j'ai défendu tout à l'heure. On se plaint régulièrement que les députés ne disposent pas des moyens de contrôler l'application de la loi. Le CNTE existe, et existera toujours après nous, normalement – sauf si nous nous rangeons à la proposition suivante, certes un peu audacieuse : si les travaux menés par le CNTE sont trop superficiels, si l'ordre du jour y est pléthorique, supprimons-le ! J'invite notre collègue à maintenir son amendement.