Il faut accepter qu'il existe une opposition parlementaire, donc un débat d'idées. Nous ne sommes pas d'accord, ce qui n'est pas un problème : il suffit de prendre acte de nos différences d'opinions.
Il faut en finir avec les phrases telles que « J'espère que mes fils n'entendront pas vos propos », qui tuent le débat. Nous ne vous insultons pas. Je regrette : je suis députée, élue de la nation ; j'ai le droit de parler de ce dont bon me semble, de la forêt comme de tout. Personne n'est fondé à dire que je ne suis pas légitime pour aborder tel ou tel sujet.