La France entend doubler la part du fret ferroviaire, en la portant de 9 à 18 %. Nous avons soutenu cette stratégie dans la loi d'orientation des mobilités du 24 décembre 2019. À cette occasion, nous avions marqué notre volonté de développer ce que nous appelons des « corridors européens ». Ils passent avant tout par une étroite entente franco-allemande.