Je suis engagée en faveur de la protection des arbres, aux côtés du conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de Seine-et-Marne, de l'association ARBRES et du groupe national de surveillance des arbres (GNSA).
Dans le cadre de l'examen du projet de loi « climat et résilience », j'ai déposé trois amendements relatifs à la protection des arbres en dehors des forêts, qui ont été jugés irrecevables. Le premier visait à permettre le classement d'arbres remarquables au titre des sites patrimoniaux remarquables, le deuxième à réaliser un inventaire de notre patrimoine arboré remarquable dans le cadre d'un atlas des paysages, et le troisième à obtenir un décret d'application de l'article L. 350-3 du code de l'environnement, qui protège les alignements et allées d'arbres des abattages.
Si la protection de notre patrimoine arboré hors des forêts n'a pas sa place dans ce projet de loi, par quels moyens pourrons-nous faire avancer cette cause ?