Monsieur Zulesi, j'entends votre remarque sur le cadre européen ; rien ne nous empêche de traduire cette directive au niveau législatif français. L'Europe ne doit pas être un paravent derrière lequel on se cache lorsqu'on ne peut pas avancer sur un sujet. Au contraire, nous devons travailler de concert.
Madame Kerbarh, vous avez assisté à l'audition de la représentante de Global Compact : elle a accueilli très favorablement cet amendement, expliquant que les nombreuses entreprises qui ont entamé cette démarche volontaire ont besoin de voir, avec cette inscription dans le texte, leur investissement reconnu.