Je parle bien de la même chose. On peut avoir, dans un premier temps, des actions vendues à titre onéreux sans contrôle puis, dans un second temps, la cession d'actions permettant de devenir bénéficiaire effectif à titre gracieux, en échappant ainsi au dispositif de contrôle. Quand on supprime tout lien de parenté, c'est sans limite. Même si cela ne ferait pas plaisir à Dominique Potier, pour peu que l'on examine nos arbres généalogiques, on y trouverait sûrement un aïeul commun au XIIe ou au XIIIe siècle, grâce auquel il pourrait me céder son exploitation à titre gracieux. Il faut des limites, sans quoi cela n'a aucun sens et n'aura aucune prise sur ce que l'on compte réguler. Mme Le Feur également a peut-être un lien de parenté avec vous, Monsieur Potier !