Lors de votre visite à Val-d'Anast, en Ille-et-Vilaine, vous vous étiez entretenu avec des agriculteurs, et notamment Gwenaël Floch, maraîcher. Il avait été évoqué l'éventualité d'une aide, forfaitaire ou pas, qui serait un filet de sécurité pour ces petites exploitations, parfois à forte intensité de main-d'œuvre, et soumises aux aléas climatiques, sanitaires et économiques. Il était question d'une enveloppe de 13 à 17 millions d'euros pour le maraîchage, mais elle serait semble-t-il consacrée aux exploitations de plus de 1 hectare. Cette question renvoie aux seuils des aides surfaciques, qui sont parfois difficiles à atteindre. Pourriez-vous apporter des précisions ?