Nous en sommes tous conscients, le transport aérien a été le secteur le plus touché par la crise sanitaire. L'État a répondu présent en le soutenant à travers des prêts garantis, des recapitalisations et le recours au chômage partiel. Deux questions se posent : combien de temps maintenir les aides ? Comment accompagner le transport aérien à l'avenir ?
S'agissant du BACEA, que pensez-vous du niveau d'endettement, monsieur le rapporteur pour avis ? Le devenir de l'École nationale de l'aviation civile (ENAC) inquiète. Vous qualifiez la situation de supportable, pouvez-vous préciser ce que vous entendez par là ? La Cour des comptes a recommandé une diminution des effectifs de la DGAC. Comment la pérennité des missions de la DGAC peut-elle être assurée selon vous dans ces conditions ?
Je considère quant à moi que nous pouvons regarder l'avenir avec optimisme car nous pouvons espérer des avancées sur l'avion décarboné.