Une augmentation de 4 millions d'euros, ce n'est pas rien : ces crédits financeront précisément l'observation et l'évolution des forêts. L'ONF nous a permis de traverser la crise sanitaire, notamment grâce à l'abattage massif d'arbres, dans le Jura et le Morvan. S'agissant de l'évolution des effectifs, les détecteurs du service rendu à la forêt doivent être mobiles, ce qui n'était pas intégré dans la culture de l'ONF. D'ailleurs, une approche globale des effectifs de l'ONF montrerait que l'office emploie quasiment le même nombre de personnes qu'il y a vingt ou vingt-cinq ans, mais à des tâches différentes.