Lors de nos travaux, nous savions déjà qu'il faudrait beaucoup plus que ces 3 millions d'euros, mais c'est une première marche. Il faut prendre conscience de la menace que constituent ces plantes pour la biodiversité. Divers acteurs proposent déjà des initiatives très intéressantes, mais l'État doit prendre sa part et soutenir à la fois la recherche, la sensibilisation et le traitement sur le terrain.
Les parlementaires doivent être à la pointe du combat : il ne s'agit pas d'éradiquer les plantes invasives – ce n'est pas possible – mais de les gérer autrement, et mieux, tout en soutenant les diverses actions de terrain. Je vous demande de voter cet amendement.