Sur les 1 542 postes que comptait l'IGN en 2017, il n'en reste plus que 1 471, soit une baisse de 71 ETP ; le PLF pour 2022 prévoit encore la suppression ou le transfert de 24 ETP.
C'est un contresens historique que de continuer à supprimer les postes de cet opérateur de référence pour observer, décrire et mesurer le territoire. L'IGN intervient dans des domaines aussi variés que le calcul des parcelles agricoles, la cartographie des habitats naturels, le calcul de l'indice de référence mondiale pour surveiller les changements climatiques, le suivi des phénomènes d'érosion côtière ou les prises de vues aériennes d'urgence pour anticiper les inondations.