Ma question concerne la nouvelle plate-forme « Parcoursup ». Je rappelle que le Conseil d'État s'interroge quant au calendrier extrêmement tendu et contraint dans lequel la réforme doit entrer en vigueur, avec notamment toutes les exigences liées à la législation sur l'informatique et les libertés. Pensez-vous pouvoir finaliser à temps et de manière totalement optimale la mise en place de la nouvelle plate-forme ? Quels bénéfices attendez-vous de la fin de la hiérarchisation des voeux ? Cette non-hiérarchisation des voeux n'est-elle pas susceptible au contraire d'entraîner un allongement du délai d'attente et donc peut-être un certain engorgement des procédures ?