Puisqu'il s'agit ici des bacheliers dont toutes les demandes se sont heurtées à un refus, on ne saurait leur garantir l'accès à l'une des filières non sélectives de leur choix. Cela reviendrait à leur dire : « Vous avez eu non partout, mais on va vous dire oui quand même… » Quant aux places en résidences universitaires, c'est précisément parce que la demande de chambres est très forte dans certains endroits que nous avons prévu la construction de 60 000 logements. Mais j'insiste sur le fait que la situation est extrêmement variable selon les territoires considérés.