Je comprends l'esprit de cet amendement qui vise à demander à l'établissement d'accueil un avis sur l'affectation, mais le texte fait le pari que recteurs et présidents d'universités travailleront en bonne intelligence, ce qu'ils font déjà. Introduire cette précision dans la loi risquerait de rigidifier un dispositif que nous voulons rendre efficace sans le ralentir, à un moment où les candidats voudront connaître au plus vite leur affectation. Avis défavorable.