Sur l'IFER, nous avons la conviction qu'il s'agit d'un combat structurel et conjoncturel. On entend beaucoup parler de la suppression des impôts de production pour construire la relance post-crise de la covid. Or, nous supportons, avec l'IFER, un impôt contre-intuitif. Plus vous déployez, plus vous avez d'impôt à payer. Plus vous investissez, plus vous avez d'impôt à payer. Raison pour laquelle nous travaillons de façon très efficace avec Mme Laure de la Raudière, M. le député Bothorel et un certain nombre d'autres parlementaires pour essayer, enfin, de limiter les effets négatifs de cet impôt sur les investissements télécoms.
S'agissant de la pédagogie autour de la 5G, l'exemple de l'AMEL Provence‑Alpes‑Côte d'Azur est un bon exemple du partenariat entre l'État, les collectivités, les opérateurs et les parlementaires pour réussir le déploiement. Nous devons collectivement faire de la pédagogie. Comme le disait M. Alain Weill, ne pas faire le choix de la 5G, c'est en réalité renoncer à la 4G. C'est le message qu'ensemble, nous devons faire passer.
Ensuite, nous ne refusons pas le progrès, au contraire, nous l'accompagnons. Ce sont des entreprises françaises, responsables qui investissent, qui s'engagent, qui accompagnent ce progrès pour les territoires. Je crois que cela doit être une satisfaction pour l'ensemble de nos concitoyens, qui sont également l'ensemble de nos clients.