Je salue le travail des deux rapporteurs ainsi que le sens des responsabilités des acteurs de la montagne. Je note que si le tourisme de montagne a « tenu le coup » et rebondi après le premier confinement, la période post-second confinement risque d'être beaucoup plus compliquée. Il existe un écosystème entier de petites et moyennes entreprises actuellement à l'arrêt, en forte demande de perspectives et de soutien.
Je conclus mon propos en indiquant que cette crise doit être un accélérateur d'évolutions pour la montagne. Il faut désormais avoir une vraie stratégie de « désaisonnalisation » de la montagne, au profit d'un espace ouvert et actif pendant les quatre saisons.