Je ne voudrais pas laisser le monopole du praticien à notre collègue Fugit, car je suis également un universitaire… La situation s'est améliorée depuis quelques années, c'est vrai, mais la marge de progression reste importante. C'est pourquoi je veux vraiment insister : si l'on veut que 100 % de nos étudiants soient sensibilisés, il faut l'inscrire « en dur » dans la loi.