Merci, Madame la ministre. Comme à votre habitude, vous avez parlé avec beaucoup de conviction de ces sujets que vous connaissez bien. Nous avons bien compris qu'il y avait des choses à éviter pour prendre rendez-vous avec vous : même si les modes de communication peuvent trouver un écho ces temps-ci, la politique s'accommode mal du sensationnalisme et du catastrophisme.
Nous vous recevrons à nouveau d'ici quelques mois pour dresser un premier bilan de l'accord avec le Royaume-Uni. Le diable est dans les détails et il faut attendre que les choses se rodent. Au nom des députés de la commission des affaires économiques, je vous remercie pour le temps et la motivation que vous mettez au service des pêcheurs français – qui en ont bien besoin.