Vos propos clairs nous sont précieux en une période où nous avons besoin de tout sauf de nous diviser, où la cohésion nationale doit être totale pour préparer la suite.
Sans être grand clerc, il ne fallait pas s'imaginer que les Britanniques, ayant de nouveau, enfin, les mains libres, resteraient très longtemps en position d'observateurs. On voit également que les intérêts des pays membres de l'Union européenne et de l'OTAN sont totalement divergents, si on met à part les cinq ou six voisins qui nous ont soutenus. Ce qui s'est passé n'est guère encourageant ; pour éviter de nouvelles déconvenues, ne faut-il pas envisager une autre forme de diplomatie ?