La réalité est qu'aujourd'hui, le site de Petit-Quevilly a un carnet de commandes rempli à 100 %, voire au-delà. Un plan a été mis en place pour relancer l'embauche, ce qui est tout à fait normal : on commence par une prestation, puis par un intérim, et ensuite on embauche.
Mais sur d'autres sites, c'est l'inverse : on abaisse l'objectif de production à X moteurs, beaucoup moins qu'auparavant, et on réduit les effectifs en conséquence. Et ensuite, on a beau jeu de dire qu'il n'est pas possible d'en faire davantage… Dans l'histoire d'Alstom, c'est un peu là où le bât blesse.