Je suis admiratif de l'ambition que le président Ferrand assigne à notre réflexion, mais mieux vaut attendre la fin de la crise, qui ne sera peut-être pas intervenue début octobre, avant de se projeter ainsi dans l'avenir. À ce stade, il me paraît donc préférable de privilégier le court terme et d'identifier les moyens qui nous permettront de surmonter le mieux possible la crise.
Je souscris au tableau brossé par le président Waserman, mais il me paraît important de distinguer procédure législative et mission de contrôle.