J'entends les propos de certains intervenants, mais je rappelle que nous avons pris toutes nos décisions à l'unanimité. En tant que président de l'Assemblée nationale, il est de ma responsabilité de veiller à la santé des députés. Je n'ai pas obéi à une injonction émanant des autorités de santé : j'ai pris en compte les prescriptions sanitaires, car tel était mon premier devoir. Qu'aurait-on dit si je ne l'avais pas fait ?