Si nous avons réussi à travailler – parfois de manière un peu erratique – ces dernières semaines, c'est notamment grâce à des réseaux sociaux. Cela soulève des questions de souveraineté mais aussi de transparence, car il n'a pas été toujours possible d'assurer la publicité des débats. Prenons-y garde car il faut, au-delà de la crise sanitaire, éviter d'alimenter une crise démocratique : que nos concitoyens puissent continuer à suivre nos débats doit être au cœur de nos travaux.