Non, pas du tout. Ce n'est pas une opportunité. Nous avons déposé des amendements déposés dans le cadre du titre deux de la loi en discussion. Nous sommes tout à fait d'accord sur le renforcement des contrôles, notamment du statut de lanceur d'alerte. En revanche, la création d'étiquetages franco-français signifiera qu'il n'y aura aucune obligation d'étiqueter des viandes non-produites en France.