Je ne ferai pas un plaidoyer contre la montée en gamme, mais je reprendrai l'exemple britannique, lorsque les GMS ont demandé cette évolution dans les années 1990, notamment au regard du bien-être animal dans les élevages de porcs. À l'époque, le Royaume-Uni affichait un taux d'autosuffisance de 90 %. Depuis, ce taux est descendu à 40 % et ce pays achète danois. La montée en gamme est une thématique sur laquelle nous nous sommes engagés. Mais il existe aussi des réalités économiques à ne pas perdre de vue.
Pour finir, j'observe que nous parlons beaucoup de la restauration collective. Pourtant, pour la partie viande, la part importée y est la plus importante.