Je n'y crois pas une seconde. Je pense que nous sommes cartésiens et que nous raisonnons avec notre tête, face à un sujet qui est une décision purement politique au sein du Royaume-Uni. L'aléa du vote d'hier, qui laisse une porte ouverte, me semble davantage obéir à des logiques internes de politique britannique que véritablement à la logique de la négociation. Pour notre part, nous travaillons sur la base d'un hard Brexit. Nous invitons nos entreprises à se préparer à un scénario du pire. Nous aurons éventuellement de bonnes surprises. De toute façon, nous serons plus près du scénario du pire que du business as usual.