Deux actions sur les cinquante-cinq possibles pour obtenir des certificats d'économie de produits phytopharmaceutiques (CEPP) sont à l'origine de la moitié des certificats délivrés en 2019 : la lutte contre les bioagresseurs au moyen d'un produit de biocontrôle à base de soufre ; la réduction du nombre de traitements par la plantation de variétés de blé tendre assez résistantes aux bio-agresseurs. Peut-on, en partant de ces certificats, estimer la baisse d'utilisation de ces produits ? Quels moyens l'État utilisera-t-il pour développer les variétés de biocontrôle, alternatives souvent intéressantes à l'usage de produits phytosanitaires ?